Demain, on sera fixé sur les finales qu'on pourra déguster ce week-end. Avant tout pronostic et toute tergiversation, petit tour d'horizon de ce que cette journée nous a proposé.
Elena Dementieva et Serena Williams s'affrontaient pour une place en finale.
La première, forte de deux titres consécutifs, d'une victoire cinglante et toute fraîche sur son adversaire et d'une carotte non négligeable ( à savoir, la place de n°1 mondiale ), avait toutes les chances de son côté.
Serena, rescapée du tournoi qui devait son salut au coup de chaud de Victoria Azarenka en quart de finale alors que celle-ci menait d'un set, n'était pas dans les meilleures dispositions.
J'avais misé sur Dementieva parce qu'elle me paraissait enfin prête à faire mentir tous les bruits sur sa fragilité mentale. J'ai eu tort. Et pour cause ! Serena n'a fait qu'une bouchée d'elle.
Elena est arrivée sur le court déjà très tendue. Elle n'a jamais pu évacuer sa frustration. Il faut dire qu'après l'énorme travail physique, les énormes progrès techniques ( notamment au service ) qu'elle a effectués, elle a dû se demander où était sa tête lorsque ses vieux démons sont venus s'asseoir sur son épaule : la Elena d'il y a encore deux ans, celle qui commettait double faute sur double faute et se précipitait était de retour.
Pendant ce temps-là, Serena, elle, n'avait qu'à mettre la balle dans le court, sans trop courir, sans servir magnifiquement bien. Dans le deuxième set, par exemple, alors que Elena était parvenue à breaker Serena, nul doute que cette dernière n'a pas douté une seule seconde que son retard serait rattrapé.
Parce qu'il ne faut pas se tromper : cette demi-finale s'est jouée au mental. La technique, le jeu ou le physique n'avaient pas droit de cité.
Résultat : 6-3 6-4
Celle qui aura la lourde tâche de défier Serena et ses titres du Grand Chelem ( dont l'Open d'Australie 2003, 2005 et 2007 ), c'est Dinara Safina.
Là encore, j'avais misé ( certes timidement ), sur Vera Zvonareva. Là encore, tout faux !
J'avais sous-estimé le mental de guerrière de Dinara. Celle qui a été agressive aujourd'hui, c'était elle. Toute en maîtrise, elle a dégoûté sa compatriote avec ses frappes lourdes et précises. J'entends déjà les détracteurs de la WTA se plaindre parce que "ça fait que frapper", "ça réfléchit pas", "ça bourrine". Quand de telles pensées effleurent nos esprits il faut revenir au fondamentaux : le tennis est un sport dont le but est de mettre la balle dans les limites du court tout en essayant de mettre l'adversaire loin de celle-ci. L'objectif final de ce fabuleux sport est de gagner.
C'est exactement ce que Dinara a fait ce matin : ses tentatives de variations de jeu, d'arrondi des balles se sont soldées par un bon vieux parpaing planté dans la lucarne par Vera. A quoi bon varier pour varier ? Elle n'a plus varié et a gagné. Bingo !
Bien sûr, les styles de jeu de Justine Henin, Martina Hingis ou encore celui d'Amélie Mauresmo manquent et sont en voie de disparition et gagner en rendant le match esthétique est un bonus ( voire un luxe de nos jours ) mais n'oublions pas les fondamentaux : le but est de gagner !
Résultat : 6-3 7-6
De toute façon, dès samedi, il ne faudra pas chercher de grâce dans les coups des deux lauréates d'aujourd'hui : ça va bastonner sévère et avec un peu de chance, ce sera intense !
Concernant la finale masculine, on a déjà une pièce du puzzle : Roger Federer. Il s'est qualifié pour sa 19ème finale en Grand Chelem sur 21 demi-finales disputées. Il n'est plus qu'à une longueur du record d'Ivan Lendl. Pour ce faire, il a dû se défaire d'Andy Roddick.
Il faut saluer Monsieur Roddick qui, mené 15 victoires à 2 par le Suisse et donc avec de bonnes raisons de ne jamais y croire, nous livre toujours des matches nous donnant l'illusion qu'au contraire, il y croit ! Aujourd'hui, il nous a même fait cadeau d'un jeu plus varié, plus convaincant que par le passé. Souvent, les suppliques à son endroit concernant sa manie de ne jamais approcher le filet à moins de 10 mètres s'élèvent. Il les a entendues ! Agressif, vers l'avant, il a même parfois paru dangereux.
Federer, quant à lui, n'a pas eu à forcer. Rarement débordé, il lui a suffi d'hisser son niveau de jeu au moment opportun pour coiffer Roddick au poteau. Il a joué de façon relâchée, sereine et appliquée. Au bout du compte, il n'aura commis que 15 fautes directes pour 51 coups gagnants. Un match solide, différent de la correction qu'il avait infligée à Del Potro mais on ne peut décemment pas demander au Roger Nouveau d'humilier tout le circuit tous les deux jours.
Résultat : 6-2 7-5 7-5, même score que son rival Nadal avait collé à Simon, comme un clin d'oeil...
Bonus Roddickien : bavard, l'Américain a agrémenté la rencontre de petites phrases assassines spécialement concoctées pour le corps arbitral, à la McEnroe :
- "Je n'arrive pas à lire votre expression ( NDLR : "faciale" ). Généralement, j'encourage l'utilisation des mots. Ne me faites pas de grimace ! Dites-moi juste si elle est dehors ou pas...Je ne veux pas voir de doute sur votre visage !" : Andy avait demandé à Enric Molina arbitre de la rencontre, si son service était bien faute. Molina avait fait une grimace comme réponse.
- "Mais comment pouvez-vous juger cette balle out ?!" : un juge de ligne avait annoncé une première balle de service de Federer faute alors que celle-ci était nettement à l'intérieur du carré de service. C'est le monde à l'envers !
- "De toute façon, mes excuses n'étaient pas pour vous..." : Andy venait juste de prononcer son 5ème "Fuck" de la partie après une double faute et avait levé sa raquette pour s'excuser auprès de Federer. Molina lui a adressé un avertissement ; ceci est sa réponse.
Demain, sur la Rod Laver Arena, à 19h30, heure de Melbourne, la pièce manquante se joindra au tableau à l'issue du match entre Rafael Nadal et Fernando Verdasco. Un pronostic ? Nadal bien sûr. En combien de sets ? Aucune idée !
Elena Dementieva et Serena Williams s'affrontaient pour une place en finale.
La première, forte de deux titres consécutifs, d'une victoire cinglante et toute fraîche sur son adversaire et d'une carotte non négligeable ( à savoir, la place de n°1 mondiale ), avait toutes les chances de son côté.
Serena, rescapée du tournoi qui devait son salut au coup de chaud de Victoria Azarenka en quart de finale alors que celle-ci menait d'un set, n'était pas dans les meilleures dispositions.
J'avais misé sur Dementieva parce qu'elle me paraissait enfin prête à faire mentir tous les bruits sur sa fragilité mentale. J'ai eu tort. Et pour cause ! Serena n'a fait qu'une bouchée d'elle.
Elena est arrivée sur le court déjà très tendue. Elle n'a jamais pu évacuer sa frustration. Il faut dire qu'après l'énorme travail physique, les énormes progrès techniques ( notamment au service ) qu'elle a effectués, elle a dû se demander où était sa tête lorsque ses vieux démons sont venus s'asseoir sur son épaule : la Elena d'il y a encore deux ans, celle qui commettait double faute sur double faute et se précipitait était de retour.
Pendant ce temps-là, Serena, elle, n'avait qu'à mettre la balle dans le court, sans trop courir, sans servir magnifiquement bien. Dans le deuxième set, par exemple, alors que Elena était parvenue à breaker Serena, nul doute que cette dernière n'a pas douté une seule seconde que son retard serait rattrapé.
Parce qu'il ne faut pas se tromper : cette demi-finale s'est jouée au mental. La technique, le jeu ou le physique n'avaient pas droit de cité.
Résultat : 6-3 6-4
Celle qui aura la lourde tâche de défier Serena et ses titres du Grand Chelem ( dont l'Open d'Australie 2003, 2005 et 2007 ), c'est Dinara Safina.
Là encore, j'avais misé ( certes timidement ), sur Vera Zvonareva. Là encore, tout faux !
J'avais sous-estimé le mental de guerrière de Dinara. Celle qui a été agressive aujourd'hui, c'était elle. Toute en maîtrise, elle a dégoûté sa compatriote avec ses frappes lourdes et précises. J'entends déjà les détracteurs de la WTA se plaindre parce que "ça fait que frapper", "ça réfléchit pas", "ça bourrine". Quand de telles pensées effleurent nos esprits il faut revenir au fondamentaux : le tennis est un sport dont le but est de mettre la balle dans les limites du court tout en essayant de mettre l'adversaire loin de celle-ci. L'objectif final de ce fabuleux sport est de gagner.
C'est exactement ce que Dinara a fait ce matin : ses tentatives de variations de jeu, d'arrondi des balles se sont soldées par un bon vieux parpaing planté dans la lucarne par Vera. A quoi bon varier pour varier ? Elle n'a plus varié et a gagné. Bingo !
Bien sûr, les styles de jeu de Justine Henin, Martina Hingis ou encore celui d'Amélie Mauresmo manquent et sont en voie de disparition et gagner en rendant le match esthétique est un bonus ( voire un luxe de nos jours ) mais n'oublions pas les fondamentaux : le but est de gagner !
Résultat : 6-3 7-6
De toute façon, dès samedi, il ne faudra pas chercher de grâce dans les coups des deux lauréates d'aujourd'hui : ça va bastonner sévère et avec un peu de chance, ce sera intense !
Concernant la finale masculine, on a déjà une pièce du puzzle : Roger Federer. Il s'est qualifié pour sa 19ème finale en Grand Chelem sur 21 demi-finales disputées. Il n'est plus qu'à une longueur du record d'Ivan Lendl. Pour ce faire, il a dû se défaire d'Andy Roddick.
Il faut saluer Monsieur Roddick qui, mené 15 victoires à 2 par le Suisse et donc avec de bonnes raisons de ne jamais y croire, nous livre toujours des matches nous donnant l'illusion qu'au contraire, il y croit ! Aujourd'hui, il nous a même fait cadeau d'un jeu plus varié, plus convaincant que par le passé. Souvent, les suppliques à son endroit concernant sa manie de ne jamais approcher le filet à moins de 10 mètres s'élèvent. Il les a entendues ! Agressif, vers l'avant, il a même parfois paru dangereux.
Federer, quant à lui, n'a pas eu à forcer. Rarement débordé, il lui a suffi d'hisser son niveau de jeu au moment opportun pour coiffer Roddick au poteau. Il a joué de façon relâchée, sereine et appliquée. Au bout du compte, il n'aura commis que 15 fautes directes pour 51 coups gagnants. Un match solide, différent de la correction qu'il avait infligée à Del Potro mais on ne peut décemment pas demander au Roger Nouveau d'humilier tout le circuit tous les deux jours.
Résultat : 6-2 7-5 7-5, même score que son rival Nadal avait collé à Simon, comme un clin d'oeil...
Bonus Roddickien : bavard, l'Américain a agrémenté la rencontre de petites phrases assassines spécialement concoctées pour le corps arbitral, à la McEnroe :
- "Je n'arrive pas à lire votre expression ( NDLR : "faciale" ). Généralement, j'encourage l'utilisation des mots. Ne me faites pas de grimace ! Dites-moi juste si elle est dehors ou pas...Je ne veux pas voir de doute sur votre visage !" : Andy avait demandé à Enric Molina arbitre de la rencontre, si son service était bien faute. Molina avait fait une grimace comme réponse.
- "Mais comment pouvez-vous juger cette balle out ?!" : un juge de ligne avait annoncé une première balle de service de Federer faute alors que celle-ci était nettement à l'intérieur du carré de service. C'est le monde à l'envers !
- "De toute façon, mes excuses n'étaient pas pour vous..." : Andy venait juste de prononcer son 5ème "Fuck" de la partie après une double faute et avait levé sa raquette pour s'excuser auprès de Federer. Molina lui a adressé un avertissement ; ceci est sa réponse.
Demain, sur la Rod Laver Arena, à 19h30, heure de Melbourne, la pièce manquante se joindra au tableau à l'issue du match entre Rafael Nadal et Fernando Verdasco. Un pronostic ? Nadal bien sûr. En combien de sets ? Aucune idée !
Lien vers le programme : http://www.australianopen.com/en_AU/scores/schedule/index.html
NB : Les horaires sont locaux. Pour information, le décalage horaire entre Paris et Melbourne est de 10h.
Pour la diffusion télévisée de l'Open d'Australie : http://letenniswhatelse.blogspot.com/2009/01/lopen-daustralie-sur-les-crans.html
Crédit photo :
www.jamd.com
NB : Les horaires sont locaux. Pour information, le décalage horaire entre Paris et Melbourne est de 10h.
Pour la diffusion télévisée de l'Open d'Australie : http://letenniswhatelse.blogspot.com/2009/01/lopen-daustralie-sur-les-crans.html
Crédit photo :
www.jamd.com
24 commentaires:
Je n'ai pas bien compris si tu pensais ou non que Vedasco aurait des chances raisonables de remporter deux sets. Parce que franchement, s'il a des chances raisonables de remporter deux sets, est-ce qu'il a réellement très peu de chances d'en remporter trois...
Comme écrit, j'en ai aucune idée.
Si Verdasco est en feu comme face à Tsonga, cad, service canon sur les points importants, vélocité, et s'il a réellement envie de battre son pote, il peut prendre un set ou deux à Nadal.
Mais ça fait beaucoup de "si", donc sans "si" le prono c'est Nadal en 3 sets et avec "si" c'est Nadal ou bien Verdasco en 4 ou 5.
On n'est pas avancé, quoi !
Je vous avais promis une surprise par rapport au match Fed/ARod. Ne vous inquiétez pas vous allez l'avoir.
Auparavant mon compte rendu personnel du match
Effectivement un Federer solide et concentré, malgré un côté mou par moment, ratage de fautes bêtes où l'on a l'impression qu'il n'est pas à fond dans le match. C'est d'ailleurs ce que reprochent ma tante et ma grand mère qui plus ça va plus sont à fond derrière Nadal et qui le supporteront de tous leur coeur pour qu'il gagne. Soyons honnête, Rodger bien que je l'adore et souhaite qu'il gagne, (et oui les filles, je suis avec vous bien sur), m'a évidemment énervée dans le passé par un manque de niac notamment face à des joueurs comme Nadal, Murray et même Simon. Je ne peux pas dire le contraire, ce ne serait pas honnête.
Revenons en à nos moutons, dans l'ensemble si il n'y avait pas eu Federer mais deux joueurs lambdas, je n'aurais pas regardé ce match qui s'est résumé la plupart du temps à des aces et des coups manqués, surtout du côté de Roddick. Il n'y avait pas de rythme et d'intensité. C'était plutôt molasson. J'avoue avoir plus pris mon pied lors de la rencontre entre Nadal et Simon.
A la fin de la rencontre cela a été beaucoup plus intéressant avec quelques coups de génie notamment de Federer.
Attention, je n'ai pas dit que federer avait mal joué, mais j'espère pour la finale et le spectacle le federer artiste de Flushing ou pendant moins de 2h il y a eu des coups de folie.
Maintenant les filles, the surprise :
Chanson de Thierry HAZARD "Poupée psychédélique" mise au gout du jour pour cette demi finale entre Rodger et A-Rod
Rodger :
C'est mon Roddick, mon joujou préféré 100% matière synthétique
C'est mon Roddick, mon Roddick psyché, mon Roddick psychédélique.
Spécimen rare, chef d'oeuvre unique
Modèle d'époque pièce authentique
C'est mon Roddick, mon joujou préféré, mon Roddick psychédélique.
Roddick
Il fonctionne sur piles rechargeables
Il est quasiment inusable
Il me fait sauter les fusibles
Il est entièrement programable
Ses circuits sont infaillibles
C'est un Rodger formidable c'est une fusée terrible
Rodger
C'est mon Roddick, mon joujou préféré...
Dans mon compte rendu de la finale j'ai oublié de mentionner chose exceptionnelle que Rodger a eu 20/20 pour le challenge. Toute les fois il a eu raison pour le point. Chose rarissime à signaler. Bonne soirée tout le monde
Tu t'es trop déchirée Iris-Jane ! MDR !!! Merci ! ;-)
Mdr !
C'est vrai que Roddick, c'est son joujou préféré ;)
Alors, 18e finale de GC pour Roger, 18e rencontre avec Roddick et si Rafa le rejoint en finale, ça fera 18 affrontements...
Il se passe quoi avec le 18 ?!
rafa et fernando sont en scène. Rafa saute pour s'échauffer. Déjà dans son match. Franchement une nouvelle confrontation entre les deux légendes du circuit actuel sur une nouvelle surface me plairait. Vamos Rafaaaaaaaaaaa
Si Rafa affrontait Rodger, j'aimerai une finale de la qualité des 2 de Wimbledon. Vu qu'on est dans une autre surface que la terre battue, on pourrait avoir quelques chances.
Premier set Verdasco 7-6. Je sais pas comment ça se fait. Je vois rien.
j'ai que le scoreboard donc je vois rien non plus mais 8 coups gagnants pour nadal dans le premier set.. ça fait pas bcp..
sur le site de la tv suisse romande www.tsr.ch y a un streaming du match mais je pense que c'est accessible seulement depuis la suisse..
Je t'ai expliqué Siob. Nadal est un peu mou, et surtout Verdasco est excellent, agressif, variant bien ses coups, montant souvent au filet, prenant Rafa sur son contre-pied et le plantant tout le temps en revers croisé. Très bon au service aussi, malgré de nombreuses fautes.
Motivation et jeu, tout est meilleur aujourd'hui chez Nando.
Apparement, 2eme set Nadal 6-4
Coucou!
Jsuis un peu surpris en arrivant, Verdasco a prit le premier set... mais est mené 2sets à 1 maintenant !
Ca joue vraiment bien quand même... Et Nadal a amélioré son service..
C'est énorme on dirait un Nadal-Nadal
lol c'est rare 2 gauchers qui jouent comme ça... Et 0-30 sur service de Nadal... Si il y a 5ème set je pense qu'il sera cuit pour dimanche!
Et ça lifte
...
Je suis le match Deathbringer, et c'est tout à fait ça, on dirait un Nadal/Nadal, avec beaucoup de solidité de Verdasco, mais beaucoup beaucoup de fautes, et Nadal qui s'accroche sans trop de panache, mais efficacement.
C'est sûr que contre un autre gaucher, il a beaucoup de mal. C'est très serré tout le temps.
Et même s'il n'y a que 4 sets, il sera cuit pour dimanche. Vous êtes contents, hein les fédériens !
5ème Set... Ca sent pour pour notre Dieu adoré en finale ça :)
Je ne vois pas le match mais ça a l'air d'être un grand match. J'espère que ce sera fini avant 3h, heure de la retransmission d'Eurosport. Mais là ils se sont mis à égalité et je me demande même si on ne va pas vers les 5h passées de jeu. Je regrette que Nadal n'ait pas eu plus de réussite à 0/30 pour le service de Verdasco.
Compte tenu du match d'anthologie, vu les commentaires du live, je pensais qu'il y aurait plus de commentaires.
Vous ne voyez vraiment pas le match ?
Match fini, victoire de Nadal 6-4 au 5eme set sur une double faute de Verdasco et après 2 balles de match sauvées par Verdasco.
Le score :
6/7(4) - 6/4 - 7/6(2) - 6/7(1) - 6/4
J'étais au boulot et j'écoutais le match en direct via la radio du site de l'open d'australie et les commentateurs étaient super chauds...
Je regrette de ne pas avoir le temps de voir le match. Vivement la finale dimanche matin :D
Beh moi, j'étais au boulot et le réseau internet a sauté, du coup j'avais aucun moyen de savoir où ils en étaient jusqu'à ce qu'un pote m'appelle pour me dire "putain ! qu'est-ce tu fous ?! Tu regardes pas le match ????". Je lui ai rappelé que j'avais un boulot lol et je suis arrivée chez moi lorsque Verdasco menait 0-30 sur le service de Nadal à 4 partout et qu'il a vendangé deux revers dans le couloir.
J'ai pu voir la toute fin de match.
Du coup, pour mon article, je suis bien embêtée lol
Je sais pas quoi écrire à part "j'ai raté LE match de la quinzaine" ;)
Mais non Mme Tursunov, LE match de la quinzaine, c'est dimanche !!!
Moi, je parie sur un remake de Wimb' en 5 gros sets mais, victoire de "God" :D
Je sens que dimanche je vais défaillir...
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